contemporanéité d'un dieu
c'est dans le tourment qu'il écrase ses vers
au degré second d’apocryphe aliéné
l'ivresse apathique, Aton fond sous son astre
quand nulle affliction ne saurait résulter
l'antre de son temps l’encroûte solitaire
surfant sous la nue s'immerger de nul tout
sondant le futur, celui de l'après mort
courir l'impulsion sur les rives du Styx
il forge l'amour jusqu'à le transpirer
dans le vif des chairs d'une amante figée
cent mille sans forme en poèmes pour elle
née d'une illusion conçue comme parfaite.
du sujet coiffé, l’égo fait le mensonge
aversion morale en garde du milieu
au vilain péché pardonnez mon blasphème
quand la vocation, fait de moi un douteux
GH. Artal
Cersay – Val en Vignes (juin 2019)
Mes poèmes sont protégés par les moyens de l'édition.
Où l’art se plagie l’œil y découvre le faux