Aux déesses des enfers

A vous, ô pies-grièches

filles de Caneto arrangez donc vos fards

si mal accentués en vos plus grands écarts

saurais-je vous flatter, disgracieuses pimbêches

Grossir l'insignifiant

c'est courir le hasard d'une conscience en fuite

à volonté saisir mais promptement détruite

effets rétroactifs d'un droit démystifiant.

j'habite la pénombre, un gouffre de raison

jouant crûment des mots, aux règles de mon fond

sans cacher leur ampleur

Votre occulte cavée bien chargée de soupirs

aux bras de Justitia, du change en variation

j'ai crains vos repentirs.

GH. Artal ( janvier 2021)

Les poemes de GH-Artal

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